+ river flows in you. (jules ft. sgomez)

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▶ ES-TU PROCHE AVEC TES VOISINS?
certains oui. d'autre non. c'est comme ça, à peu près dans tout les quartiers résidentiels des petites villes, les grandes on ne connait pas les voisins, trop pressés pour faire leurs connaissances, malheureusement dans les petites villes on connait tout le monde, sans vraiment le vouloir, les trois vieilles du parc, le boulanger qui vous offrait une sucette lorsque vous étiez petites, les enfants qui habitaient près de chez vous, qui venez vous chercher pour aller jouer dans le petit parc. on grandit avec nos voisins, on s'écartent de nos voisins, mais on sait aussi qu'au final, même si on aime pas un voisin, qu'on ait une merde ou que lui ai des problèmes, on viendra toujours sauvé la personne en détresse. c'est comme ça.

▷ TU AS CINQ MINUTES POUR CRACHER SUR LA PERSONNE QUE TU DÉTESTES LE PLUS, GO.
trop de choses, pas assez de choses, trop de temps, pas assez de temps. on ne sait pas, en cinq minutes c'est difficile, parler un charabia qu'on comprend soit-même, parler avec des gestes; en cinq minutes on peut lui dire la pire insulte et lui foutre une claque et s'en aller comme si de rien était, tout simplement. mais la pire haine est le silence, laisser l'autre personne devant soit, attendre, regarder, chercher quelque chose sur votre visage est aussi une façon de lui prouver qu'elle n'a plus sa place dans votre vie. jules, elle n'est pas méchante de nature, elle est franche, un peu beaucoup grande gueule, mais c'est une jeune femme au grand coeur et faire du mal à une personne avec l'intention de la mettre au plus bas, très peu pour elle.
ce n'est pas son genre et ça ne le sera probablement jamais.

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?  
une ville comme une autre, à part que c'est sa ville natale, qu'elle l'a vu grandir, marcher, parler, vivre. qu'elle y a fait ses premières gardes à vue, qu'elle y a rencontré des personnes qui sont aujourd'hui des pilliers de sa vie, des personnes qui l'ont rabaissés plus bas que terre mais grâce à qui elle se tient encore debout, cette ville qui a fait fleurir son imagination pour se sortir de sa routine quotidienne, cette routine ennuyeuse et ennuyante qui lui bouffe ses journées. une ville qui la vu mûrir, souffrir, pleurer, rire, sourire. sa ville natale. woodley mills ce n'est pas qu'une pancarte avec un nom écrit dessus, woodley mills c'est la communauté qui la fait respirer.

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▶ ▶ THE CURRICULUM VITAE.

► juliette dite "jules" neo eloïse walkeys-reyes. ► jules elle est du genre chiante, franche et grande gueule. ► elle n'a jamais sut faire un lit correctement, et ça depuis qu'elle est toute petite, mettre un drap dans une couette ? mission impossible, même james bond ne pourrait pas l'aider pour ça, alors c'est sa mère qui lui faisait encore jusqu'à ce qu'elle quitte la maison pour vivre en colocation avec des amies à elle. ► jules est polyglotte, elle sait parler cinq langues couramment ; ainsi le français, l'espagnol, l'italien, le grecs et le russe sont ses langues, même si l'anglais est sa langue maternelle. quand elle est énervée, elle mélange toute les langues. ► elle bouffe tout et n'importe quoi, elle aime la bouffe et le montre tout le temps, un estomac sur place, mais aujourd'hui elle fait du sport pour ne pas retomber dans les moqueries de son enfance. petite, jules était un peu boulotte, pas très jolie, tout le contraire de sa grande soeur qui était une déesse aux yeux de tout le monde. ► elle chante uniquement sous sa douche, la musique à fond et tant pis si sa gêne. ► elle a plusieurs tatouages sur le corps, trois au total, une date sur la nuque qu'elle ne révèle à personne, seules les personnes qui comprennent le type d'écriture connaisse la date mais personne ne connait la signification. elle possède aussi une note de musique sur le poignet et le signe de l'infini en dessous de son sein droit. ► elle a tendance à sauter sur son lit comme une gamine quand elle apprend une bonne nouvelle -enfin quand elle est dans sa chambre. ► elle a une cicatrice en bas du ventre dû à son accident de voiture quand elle avait treize ans alors qu'elle était avec sa soeur, un bout de métal s'y était logé, malheureusement, celui-ci a gravement endommagé un de ses reins. elle fut alors placé sur liste d'attente d'une greffe, c'est finalement sa soeur -ennemie depuis qu'elle est née- qui lui donna l'un des siens. elles vivent maintenant reliées. ► malgré ça, jules a un gros penchant pour les voitures, l'adrénaline et les courses de voiture et de moto, ce qui exaspère sa pauvre mère. ► petite, elle n'était pas très populaire et préférait la compagnie des bouquins que celle des humains. ► jules a eut sa période de rébellion de ses seize ans à dix-huit ans, où elle prit la mauvaise habitude de passer quelques nuits au poste de police sous la garde de son oncle qui est aussi shériff, c'est d'ailleurs là bas qu'elle rencontra Elwyn, mais elle ne fit que de parler et demander à manger au lieu de le faire parler lui. Mentant alors à son sujet pour le faire libérer. ► elle jure comme un charretier. ► elle apprécie son prénom mais n'aime pas quand on l'appelle juliette -ça fait trop roméo et juliette, surtout qu'elle déteste roméo et l'amour en général. ► jules à deux facettes, non pas qu'elle soit malade hein, mais elle est cette jules que tout woodley mills connait et cette jules qui se joue de tout les hommes à cause d'une peine de coeur qu'elle a vécut dans son passé. maintenant, on ne joue plus de ses sentiments, c'est elle qui joue. ► côté caractère ►  naïve, humaine, généreuse, sensible, candide, souriante, trop curieuse, gourmande, secrète, surdouée, mystérieuse, franche, trop chiante, fleur bleue, romantique, vierge, unique, généreuse, forte, patiente, accueillante, émotive, douce, attentionnée, tolérante, non sportive, légère, barrée, fantastique, chieuse, têtue, expressive, polie, bornée, rancunière, sociable, débordée, directe, franche, calme, affectueuse, sérieuse, fêtarde, joyeuse, tenace, observatrice, humaine, honnête, fidèle, joueuse, délicate, dévouée, désorganisée, drôle, spontanée, ouverte d'esprit, dormeuse, gourmande, légèrement perdue, n'a pas le sens de l'orientation, tactile, bagarreuse.

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▶ ▶ ▶  THE STORYLINE.

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❝  .you're a sexy machine, you're a hollywood dream. ❞

and you got me feelin' like a homecomin' queen.

triceofrph@tumblr ★ selena gomez (lyrics).

.night club, philadelphie, (usa). ► philadelphie, l'un des meilleurs coins pour la jeune femme, the night club. elle en sort d'ailleurs après avoir passé une nuit de folie à danser et se faire draguer par tout le monde. l'air a un effet baume apaisant sur sa peau cuisante. le vent souffle dans ses cheveux blonds, lui donnant au passage quelques frissons, elle respire, soudainement envahit par un sentiment de - absolue, parce qu'elle est bien à ce moment-là, même si il commence à faire frais, même si le jour commence seulement à se lever. il n'est que six heure du matin après tout. les rues sont encore vides, elles dorment, mais plus pour très longtemps. elle le sait, dans quelques heures, ses rues seront pleines, vivantes. il faut qu'elle en profite et puis après tout, elle ne veut pas rentrer, pas maintenant. alors elle marche, même si ses pieds lui font mal, même si ses chaussures la torturent. elle resserre la prise autour de son sac besace et le passe en arrière, elle s'arrête, lâche un profond soupire et retire ses escarpins en secouant fortement son pied gauche, malheureusement trop fort, son talon vint s'écraser contre le sol à quelques mètres d'elle. elle rit, cachant sa bouche de ses deux mains, étouffant le fou rire qu'elle a. elle marche jusqu'à lui, maladroitement, un pied plus bas de quinze centimètre de l'autre. elle ne peut s'arrêter de rire, elle se sent euphorique. elle a la joie de vivre. c'est dans ces moment-là, vous savez ces moment éphémères où on se sent terriblement bien qu'on a envie qu'ils durent toute la vie, chaque secondes, chaque minutes, chaque mouvement, chaque respiration. elle veut que ce moment dure le plus longtemps possible. elle se baisse, récupère sa chaussure et enlève l'autre par la même occasion, elle perd une tête en moins mais se sent tellement mieux. elle aime porter des talons mais si elle le pouvait, elle ne jurerait que par des bonnes vieilles converses bases noires, les classiques quoi, mais elle ne les a pas prise, elle les a oublié sur le départ alors là voilà contrainte de déambuler dans les rues de philadelphie, pieds nus, une robe noire qu'elle porte au corps et son sac besace qui se balance d'avant en arrière, suivant ses mouvements. au fur et à mesure qu'elle marche, les papillons dans le ventre, ses pensées vagabondent. lui -sa deuxième facette-, ses grands-parents, les inconnus, son frère, ses cousins, ses parents. sa vie, ses cauchemars, ses rêves, ses amours, ses déceptions. elle a un peu froid alors sans s'en rendre compte, elle fouille dans son sac à la recherche du petit pull qu'elle a pris à la va vite la veille, elle s'arrête. jules coince son sac entre ses cuisses, lâche ses chaussures par terre et enfile son pull avant de tout reprendre et repartir sur cette route qui lui est complètement inconnu mais qu'elle suit avec joie et plaisir. le soleil se lève doucement sur la ville. il est tôt ... elle s'arrête, fouille dans son sac à la recherche de son portable. il faut qu'elle l'appelle, lui, stelios, son meilleur ami, son frère, certes dit comme ça ça pourrait porter à confusion mais pour les deux c'est très clair, trop clair, leur lien est plus fort que tout, plus fort que l'amour d'un enfant obèse porterait sur un gâteau au chocolat, plus fort que l'amour de roméo et juliette, plus fort que tout. elle l'aime plus qu'elle ne s'aime. personne n’a le droit de le toucher, c'est chasse garder. c'est comme ça et pas autrement. alors qu'elle porte son téléphone entre son oreille et son épaule. elle entend quelqu'un décroché et une voix marmonné. « baby, baby oooouh, like baby, baby oooh, baby, baby ... » et la jeune femme de vingt et un ans lui chante la chanson. du début à la fin, elle ne s'arrête pas, elle ne veut pas même avec les protestations de stelios, visiblement très endormi, à la fin de la chanson, elle lui glisse un je t'aime et raccroche. maintenant c'est au tour de birdy elle l’appelle. « est-ce que tu me vois à la fenêtre ? » un sourire espiègle s'accroche à ses lèvres. « non mais t'es pas bien ? t'as vu l'heure ? et non je te vois pas, qu'est-ce que tu foutrais devant la fenêtre, t’es pas censée être dans ta chambre ? » la jeune femme dandine ses hanches, elle est tombée dans le piège; levant le bras en l'air en guise de victoire, la demoiselle réplique « yaaaaaaaaay. ma cape d'invisibilité fonctionne !!!! YAAAY. je t'aime, by. » puis sans attendre, elle raccroche, sans attendre là non plus la moindre protestation de sa part, de toute façon, elle devrait être habituée à force. jules est comme ça, imprévisible, chiante mais tellement adorable. personne ne pouvait lui résister. être avec elle c'est comme être au septième ciel ou peut-être ... tres metros sobre el cielo.