≈ live fast, die young, bad girls do it well.

Never call a bitch a bitch. Us bitches hate that.
◯ Cessi Whittemore. ◯
credits © unknown.

PRENOM(S) NOM Cessi - qui n'est nulement le diminutif d'un quelconque prénom à rallonge - Whittemore. Ce patronyme peut paraitre familier, en raison du patriarche de la famille, très célèbre dans les environs. AGE Tout juste âgée de vingt-six ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Née un 26 juin à Woodley Mills. NATIONALITE Américaine pure souche. STATUT CIVIL Célibataire, bien qu'elle prétend être en pause avec sentimentale avec un célèbre mannequin à New York. ETUDES/METIER(s) Actuellement sans emploi, elle se contente de dilapider son argent à droite et à gauche. Il s'agit là d'une réalité très édulcorée, car ses proches la pensent créatrice de mode. TRAITS DE CARACTERE attachante, vaniteuse, passionnée, menteuse, vantarde, ambitieuse, hypocrite, cachotière, matérialiste, jalouse. AVATAR Holland Roden. GROUPE Tightrope's skills.

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ES-TU PROCHE AVEC TES VOISINS?
Dans la mesure où sa famille est devenue célèbre à cause (entre autre) de son père mais aussi des frasques de ses frères et sœurs, étrangement les voisins sont devenus plus intrusifs et curieux, désireux d'approcher de près cette étrange fratrie. Qu'à cela ne tienne, il en faut plus pour effrayer Cessi qui se montre toujours cordiale et amicale lorsqu'on frappe à la porte de la grande bâtisse. Éternelle commère, elle ne peut toutefois s'empêcher d'espionner à son tour les autres habitants, colportant bon nombre de ragots avec une curiosité enfantine. A ce titre on ne peut pas dire qu'elle soit extrêmement proche du voisinage, ils entretiennent juste des rapports cordiaux bien qu'intéressés.

▷ TU AS CINQ MINUTES POUR CRACHER SUR LA PERSONNE QUE TU DETESTES LE PLUS, GO.
Actuellement sa haine va à l'encontre de Miuccia Prada, la directrice de la célèbre marque du même nom et ce pour une raison bien précise. Non contente d'avoir été retirée de la liste d'attente pour le dernier sac de l'industrie, il n'existe pour celui ci qu'un seul coloris dont le rouge ne fait évidemment pas parti. Un crime pour Cessi qui désirait ardemment l'objet pour aller de paire avec un perfecto déniché quelques jours auparavant dans une friperie de renom. A ce titre elle déteste cordialement la vieille harpie à la tête de la maison Prada, et n'a eu de cesse de ronchonner à ce sujet à qui voulait bien l'écouter. Une des autres victimes de sa colère passagère est son père, pour des motifs d'ordre économique, ainsi que sa sœur cadette pour lui avoir dérobé sa dernière bouteille de jus d'orange.

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?  
Née ici et ayant vécu une partie de sa modeste vie, Cessi ne peut guère être objective concernant Woodley Mills. Ne devant pas ternir l'image que désire présenter son père en bon défenseur de la ville, elle clame haut et fort son attachement à la bourgade, mais au fond d'elle, la rouquine n'a d'yeux que pour New York, où elle était durant deux années. Deux longues années, qui paraissent aujourd'hui n'être qu'un doux rêve. Constamment en train de comparer l'une à l'autre, il est évident que la grande pomme remporte tout les suffrages dans son cœur. Néanmoins, c'est à Woodley que sont attachés bon nombre de ses souvenirs, et malgré l'aspect vieillot de ses maisons, ainsi que le manque cruel de buildings, vivre ici n'est pas si mal. Si on omet bien sur le peu de boutiques de luxe qui ne parviennent pas à satisfaire son addiction néfaste au shopping.

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THE CURRICULUM VITAE.
Depuis qu'elle à seize ans, Cessi collectionne les couvertures de Vanity Fair qu'elle garde secrètement dans le tiroir de son armoire. Bercée d'illusion par les grandes marques s'affichant ostensiblement sur le papier glacé, elle a décidé de faire carrière dans ce domaine. + Elle a un gout prononcé pour tout ce qui relève de près ou de loin à la mode, et ne sort jamais sans des vêtements griffés. Peu importe le prix, il lui faut les dernières tendances. + Les sacs à mains sont un péché mignon, et sont plus nombreux que ses culottes. + Elle raffole des milkshakes à la cerise, mais également des macarons français. + A force de mentir pour couvrir ses traces, elle commence à s'emmêler les pinceaux, et elle voit venir le jour où la mascarade sera révélée. Malgré tout elle continue de jouer le jeu. + Jamais à cour de rouge à lèvres, elle en transporte pas moins d'une dizaine dans les poches de sa besace. + La famille est extrêmement importante à ses yeux, jusqu'à une certaine limite, c'est pourquoi elle garde précieusement son secret. En réalité, elle a peur de décevoir tout le monde, et préfère rester dans le déni plutôt que d'affronter la pitié des autres membres Whittemore. + Elle n'a malheureusement aucune valeur de l'argent, et dépense sans compter. A cela, s'associe malgré elle, un air hautain quand elle met le pied dehors. + Sarcastique et moqueuse, elle perd vite patience, et n'hésite pas à le faire comprendre par un usage affuté des mots. Un don qu'elle tiendrait de son père. + Si beaucoup de monde la pense idiote, il n'en est rien, et elle cache bien son jeu. Diplômée d'un diplôme d'histoire, il fut un temps où elle courrait auprès des livres poussiéreux. + Incapable de se détacher une seule seconde de son téléphone, elle est constamment fourrée dessus, actualisant les divers réseaux sociaux où elle est inscrite. + Peu encline au respect de l'autorité et règles multiples, elle n'en fait en général qu'à sa tête. + Alcool facile rime avec débit de paroles conséquent chez Cessi. +

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 THE STORYLINE.

 

« Quel temps il fait dehors ? » Assise devant la coiffeuse, Cessi tâchait de colorer ses lèvres d'un rouge pourpre qui tranchait avec la pâleur de sa peau. Chose qui représentait un de ses plus grands malheurs, car elle n'avait pas hérité du ton hâlé de son père, mais bien des défauts de sa génitrice et ce pour son plus grand malheur. « Est ce que j'ai l'air de ressembler à quelqu'un qui donne la météo ? » Sans même un regard pour son frère, elle acheva de se préparer en farfouillant dans son armoire, à la recherche d'une veste bleue céruléen. Malgré deux pièces consacrées à sa garde robe, il lui semblait n'avoir jamais rien à se mettre sur le dos, ce à quoi il fallait immédiatement remédier. Un frisson parcouru son dos, n'était elle pas censée se rendre à son bureau aujourd'hui ? Du moins le prétendu bureau. Depuis qu'elle était rentrée, elle mentait à tout le monde, peu désireuse de dévoiler la catastrophe de son incursion à New York, où elle était tombée de haut. Partie pour devenir créatrice de mode, elle était revenue bredouille, et sans avoir touché le moindre bout de tissus ou carnet de dessin, si ce n'était des posts its colorés. Pourtant consciente qu'elle devrait trimer pour monter les échelons, elle ne s'était pas attendue à un tel challenge, trop habituée à l'effet de facilité que pouvait engendrer son simple patronyme. Dès lors suite au fiasco, personne n'avait été mis dans la confidence, et elle continuait de prétendre que tout allait bien, dépensant de l'argent quasi inexistant sur les ressources qu'on lui versait chaque mois. Pas même Mason ne savait, ce qui lui déchirait le cœur, car elle détestait devoir lui cacher des choses. D'ordinaire fusionnels et très proches, ils se confiaient tout, partageant bon nombre de points communs, mais voir l'échec dans ses yeux était trop insupportable. « Tu en as encore pour longtemps à faire ta diva ? » Pour toute réponse, elle lui jeta un coussin en pleine tête, et il déguerpit aussitôt, marmonnant vaguement qu'il l'attendrait en bas. A peine eut-elle le dos tourné, que la sonnerie de son téléphone, la tira subitement de sa contemplation passagère. « Allo ? Oh c'est toi... » Étouffant un soupire, elle se laissa tomber sur le lit, blasée. Ce qui allait venir n'était pas pour l'enchanter, tant elle détestait se faire réprimander, or avec son interlocuteur tel était toujours le cas. « Non je ne leur ai pas encore dit. » Il était inutile de préciser le pourquoi du comment, quotidiennement elle s'enfonçait davantage dans les méandres de ses mensonges. « On verra... Avoir été une vendeuse n'est pas forcément ce que j'ai fais de plus glorieux là bas entre deux verres de....  » Entendant un bruit derrière la porte, elle sursauta, telle une enfant prise en flagrant délit, et jeta un coup d’œil rapide. Le couloir paraissait vide, pourtant elle avait juré percevoir la présence d'une tierce personne. Si tel était le cas, elle était fichue, et ce d'autant plus si cette distorsion de la réalité tombait entre de mauvaises mains.

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Coincée dans une robe verte émeraude, et cheveux roux tirés en arrière, elle avança dans le bar d'un pas assuré du haut de ses quinze centimètres de talon. Ses lèvres rouges pincées témoignaient d'un agacement certain, de même que le pianotement insistant de ses doigts sur le clavier de son téléphone. Dans sa bulle, elle n'en oubliait pas pour autant le monde extérieur, et certainement pas la raison tardive de sa visite dans ces lieux. Abandonnant une seconde l'écran de l'objet, elle scruta les alentours d'un air dédaigneux : ce n'était typiquement pas le genre d'endroit qu'elle affectionnait, tout ici paraissait bas de gamme et fréquenté par tout les tocards de la ville. Pourtant elle n'avait pas le choix, et si être à sa merci la mettait hors d'elle, Cessi était coincée à cause des mensonges qui s'entassaient toujours un peu plus devant sa porte. A force de parler à tort et à travers, Dorian avait eu vent de certains détails, et depuis, ne cessait pas de la faire chanter dans un but plutôt clair et peu subtil. Travaillant à l'origine pour son père, il désirait très certainement se servir d'elle pour en obtenir davantage. L'idée avait beau être bonne, il ne savait pas à qui il se frottait, et il n'obtiendrait rien d'elle. Absolument rien, elle s'en faisait une parole d'honneur. Arrivant à ses côtés, la jeune femme s'empara du verre qu'il avait commandé, et en jeta le contenu sur sa chemise, tout en souriant, plutôt satisfaite. Sans lui prêter davantage d'attention, elle pris place sur un siège, et réclama un daiquiri. « Je n'aime pas trop qu'on me donne des ordres. » Lâcha t-elle finalement en l'observant, plus qu’excédée. Elle ignorait ce qui l'énervait le plus : le fait qu'il soit malgré tout mignon, ou qu'il se permette de lui fixer des rendez vous qu'elle ne pouvait refuser. A y réfléchir, c'était surement un mélange des deux. Quelque part, la suffisance qui transpirait de sa personne lui rappelait son propre caractère « Et moi je n'aime pas trop qu'on m'asperge d'alcool. On est quitte je suppose. » Loin de là pensa t-elle, pourtant elle n'en toucha pas mot, et trempa ses lèvres dans sa coupe. Elle devait à tout prix trouver un moyen pour renverser la situation, mais faire appel au patriarche était hors de question. En tout les cas, il ne l'aurait jamais écouté, considérant sa fille, comme une enfant capricieuse et gâtée. « A quoi est ce que ça rime tout ça ? » Combien de temps pouvait durer cette situation ? Un mois ? Six mois ? Des années ? Cessi le savait, elle détenait les clefs pour s'en sortir, il lui suffisait simplement de révéler la vérité aux autres, mais elle n'était pas prête, c'était trop tôt. Bien qu'elle doutait un jour avoir été prête. « Je ne m'arrêterais pas tant que tu ne m'auras pas dévoilé tout tes secrets. » Elle ricana en secouant la tête, si elle ne voulait pas l'admettre, ce lien qui se tissait entre eux, l'amusait beaucoup en dépit des dangers qu'il impliquait. « Qui te dis que tu ne sais déjà pas tout ? » « C'est un pari que je suis prêt à prendre. » Elle acquiesça du menton, et leva son verre dans sa direction, tout compte fait cette soirée pouvait être prometteuse. « C'est ce qu'on verra. » Elle fit un clin d’œil, et vida d'un trait le contenu du récipient, avant de se diriger vers la piste. Le reste de ses secrets était bien gardé.

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THE BACKSTAGE.
PSEUDO/PRENOM Marido.
AGE 22 ans.
COMMENTAIRE Minh tu es une vile tentatrice.  

Mick Crowel a écrit:

Mais non mais non
Mick mettra le pain plus cher pour Cessi   Nous faudra un lien

Dorian Crowel a écrit:

YOU. ARE. MINE. (just sayin'  )

Ridley Crowel a écrit:

Non mais frérot, c'est pas comme ça qu'on approche les filles     Ce mec n'est pas mon frère  
bienvenue avec la délicieuse holland