young volcanoes

I came to the conclusion a while ago that there is nothing romantic or supernatural about loving someone: love is the privilege of being responsible for another.
◯ CLAY O'HARA ◯
credits © écrire ici/tumblr.

PRENOM(S) NOM Il se prénomme Clay. Clay O'Hara. Ce patronyme que chaque enfant de la fratrie hérite de génération en génération. Aucun lien de parenté n'est à faire avec Scarlet O'Hara, cependant. Clay. Ses frères l'appellent bien plus souvent le "looser" que par son vrai prénom. Il s'y est fait avec le temps, même si à longueur de journée, ce sobriquet a tendance à l'agacer. AGE Il est âgé de vingt-deux ans, bien qu'on lui en donne plus souvent moins. Il n'est pas rare qu'il est à présenter sa carte d'identité : un geste devenu presque routinier. DATE ET LIEU DE NAISSANCE il naît un deux décembre mille neuf cent quatre-vingt-dix à Bellshill en Ecosse. NATIONALITE Écossais. STATUT CIVIL éternel célibataire, on ne lui prête qu'une seule histoire amoureuse : il avait alors six ans. ETUDES/METIER(s) sans emploi, il a arrêté ses études à dix-huit ans après l'obtention de l'équivalent du baccalauréat. depuis, il consacre tout son temps à la musique (à sa musique), à la composition musicale, à l'écriture des paroles. ses frères le disent artiste raté. TRAITS DE CARACTERE on le dit lunaire, créatif, souriant et attachant, persévérant, ambitieux, maladroit, introverti, obstiné. AVATAR George Blagden GROUPE GOLD WORKERS.

ES-TU PROCHE AVEC TES VOISINS?
« Mes voisins ? Je crois que les derniers voisins que j’ai connu ont déménagé, il y a de cela trois ans. Depuis… je ne sais pas vraiment qui sont ceux qui ont emménagés à côté de chez-moi, enfin de chez-nous. Enfin bref. Pourtant belle-maman (je ne sais jamais vraiment comment je dois l’appeler…) les avait convié, une fois, dîner à la maison en guise de bienvenue. Je crois que j’avais décrété avoir été malade ce soir-là, pour ne pas subir les railleries de mes aînés et tous ces artifices insensés. Alors, moi, vous savez, mes voisins, je ne m’en soucie pas vraiment. Je le devrais peut-être, je ne sais pas trop à vrai dire. Est-ce que eux savent que j’existe ? Oh sûrement, mais ce n’est pour autant qu’ils se soucieraient de moi, hein. Alors je mène mon petit train sans me soucier de leur regard, on conduit notre petit wagon nommé Vie sans regarder autour de nous, parce que seul, nous, compte à vrai dire. Je ne crois pas que mes voisins soient le genre de commères, langues de vipères ou autres appellations peu flatteuses. Ils sont discrets, tout comme moi, à vrai dire. Je crois qu’on doit aimer la discrétion là où on habite, dans notre quartier. Oh, ce n’est pas pour autant qu’on cache quelque-chose de grave… enfin, moi, je ne cache rien. Puis, je n’ai pas grand-chose à cacher à vrai dire… »

▷ TU AS CINQ MINUTES POUR CRACHER SUR LA PERSONNE QUE TU DETESTES LE PLUS, GO.
« Cracher ? Oh, vous savez ce n’est pas vraiment mon genre à pester sur les autres. Moi, je suis plus celui qui écoute plus que celui qui ‘crache’ comme vous dites. Oui, voilà. Moi, j’écoute juste les critiques, les moqueries, les insultes quand il y en a. Je subis les dits d’autrui. Puis, je ne déteste pas vraiment grand monde… non, moi, je les aime bien. Ca doit être eux qui ne m’aiment pas. Je ne sais pas vraiment à vrai dire. Oui, c’est vrai… là, à ce moment précis où je vous parle, je pourrais bien libérer tous mes chakras. Vous dire à quel point mes (demi)-frères m’épuisent et me fatiguent… dans le sens où ils sont toujours (très souvent, même) contre moi. Je ne sais pas vraiment ce que je leur ai fait pour mériter ce tel sort. Je crois qu’au fond ils ne m’ont jamais aimé, ni même apprécié, pourtant j’ai tout fait pour tenter d’être l’un des leurs – même si je n’ai jamais voulu vraiment l’être. Oui. Là. Je pourrais vous dire que Jason m’énerve à évoquer son dernier investissement dans je ne sais pas trop quelle branche-là, Louis m’agace à évoquer sa situation amoureuse en me prenant en contre-exemple. C’est bon. J’ai compris que je n’aurais jamais une aussi belle fiancée que la sienne. Il n’a pas besoin de me le rabâcher. Oh… franchement, s’ils pouvaient tous se taire, juste l’instant d’une minute ou deux, je serai enfin en paix (enfin juste le temps d’une minute ou deux, quoi). »

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?
« Je… Hum. Disons qu’à choisir entre rester en Ecosse et venir m’installer, ici, mon choix était vite fait. J’aurais voulu rester en Ecosse. Parce que j’y suis né, j’y ai grandi, j’y ai passé une partie de mon enfance… mais mon père en a décidé autrement. Alors, ce n’était pas un choix de cœur, cette ville. Mais bel et bien un choix que l’on m’a imposé. Il est vrai qu’au début, je la détestais. Je détestais ce village. En fait, je crois que c’est ses enfants que je détestais. Je les détestais tous, parce qu’ils se moquaient de moi en partie et que je n’ai jamais vraiment réussi à me faire d’amis. Au fond, c’est une petite ville comme une autre, avec ses aspects charmeurs et d’autres beaucoup moins. C’est un peu devenu, au fil des années, mon havre de paix. On y est calme et paisible, de quoi m’inspirer lorsque je compose ou que j’écris. »

THE CURRICULUM VITAE.
1. La musique. Clay a appris très jeune le piano, à l’aide de sa jeune mère. Sa mère lui a donc donné le goût pour la musique dès qu’il était enfant. Il a su jouer plusieurs notes d’affilées correctement avant même de savoir marcher, selon sa mère. Il sait aussi très bien jouer de la guitare. Un instrument qu’il a appris à dompter seul. C’est donc en autodidacte qu’il a appris à jouer, commençant par de simples reprises. Il sait découvert un talent (caché ?) pour le chant, lorsqu’il était adolescent. Compositeur, parolier, musicien, chanteur, il a plus d’une flèche dans son sac, mais ce n’est pas assez pour percer dans ce monde bien étroit. Il vit musique. Il filme ses reprises ou compositions qu’il publie sur YouTube. Outre sa page YT, il tient aussi un blog où il y expose ses chansons enregistrés, mais aussi un florilège de textes qu'il a pu écrire.
2. Il a passé de nombreux castings, notamment pour des télé-crochés bien connus tels que The Voice. A chaque audition, il se fait refouler. On ne pointe pourtant pas du doigt une certaine médiocrité ou nullité, bien au contraire. Malgré ces échecs accumulés, il tente de faire parler de lui à sa façon. Prenant sa guitare sous le bras, et allant chanter au cœur d’une rue. On le regarde, on l’applaudit… rares sont les audacieux et généreux qui lui donneront une petite pièce. Il a foi qu’un jour, une maison de disque le contactera.
3. On lui prête de nombreux échecs amoureux. Il faut dire qu’il est loin d’être le garçon qui pourrait intéressant un grand nombre de jeunes filles. Aux antipodes de l’archétype du parfait petit-ami. Il est bien loin de ces garçons (très) sportifs, qui entretiennent leur corps d'athlète. Lui, on aurait plutôt tendance à le caser dans la case "intello/coincé du slip". Il a un style vestimentaire particulier... enfin non, il n'a pas de style du tout à vrai dire. Il faut dire que la mode vestimentaire n'est pas réellement son truc. Clay est pourtant un garçon sensible et romantique, certes un romantisme teinté d’une grande maladresse. Ses aînés s’amusent donc à le surnommer le looser de l’amour, celui qui accumulent les râteaux. Après ces nombreux échecs blessants, il ne se sent pas (ou plus) prêt à s’engager dans une quelconque histoire, ou tout simplement à se dévoiler. Il est donc encore vierge, malgré la vingtaine passée. Les filles qu’il a pu voir quelque peu dévêtues se pavanent dans son écran télévisé ou pose dans les magazines ou affiches publicitaires. Ses lèvres sont chastes de tout pêché luxurieux.
4. La muse. Cette inconnue qui le fascine, l’obsède. C'est lors de l'un de ses spectacles de rue qu'il l'a rencontré. Ou plutôt que son regard à croisé le sien. Il a remarqué sa présente une fois, puis une seconde, et encore une troisième fois. Elle est là, tout le temps. Toujours. Il ne sait rien d'elle, et pourtant il l'aimerait tant. Elle est devenue en quelques semaines sa source d'inspiration, sa muse. La sienne.
5. Sa chambre. Clay passe la plus claire partie de son temps enfermé dans sa chambre. Il vit encore chez ses parents, malgré sa majorité. Il faut dire qu’il ne peut pas se permettre de payer un loyer, n’ayant aucun salaire – ni argent de poches. Il y passe ses journées à jouer, à composer et à écrire. Surtout écrire. Il faut dire qu’il n’est pas le genre de garçon à sortir très souvent de chez-lui pour aller en soirée, dans un bar, ou dans un quelconque endroit pour s’amuser. Il sort très rarement, si ce n’est pour se donner en spectacle en ville.
6. Ses frères sont en réalité ses demi-frères. En effet, lorsqu’il avait dix ans, ses parents se sont divorcés. Ce fut son père qui obtient sa garde. Deux ans plus tard, il se retrouve avec une belle-mère qu’il ne porte pas dans son cœur, et des frères qu’il a dû mal à cerner – encore aujourd’hui. O’Hara Père s’est donc installé, ici, à Woodley Mills, avec sa nouvelle famille. Il a trois demi-frères plus âgés que lui. Clay a longtemps eu du mal à vivre avec l’absence de sa mère, malgré qu’il passe ses vacances d’été en sa compagnie. Si son père a reconstruit sa vie de son côté, ce n’est pas le cas de la mère de Clay. Elle vit donc seule, en Ecosse. Il a comme projet de s’installer plus tard dans la même ville que sa mère, afin de rattraper le temps perdu.
7. En vrac : il n'a pas de permis de conduire, il se déplace donc à pieds ou en vélo - il adore les enfants, même si bien souvent les enfants ne l'apprécient pas tant que ça (pour une raison qu'il ignore) - lorsqu'il était adolescent, il portait un appareil dentaire - il ne va pas chez le coiffeur, c'est sa belle-mère qui les lui coupe - il a une très mauvaise vue. à défaut de porter des lunettes, il a opté pour les lentilles - il n'a jamais bu une seule goutte d'alcool (ou alors que très rarement), il ne fume pas non plus. il a d'ailleurs une sainte horreur de l'odeur de la nicotine - ses soirées idéales ressemblent à : télé, console de jeu, chips et soda - à défaut de posséder un chat (comme il l'aimerait tant), il a un poisson rouge qu'il a prénommé Léo - enfant, il collectionnait les cartes Pokemon. il a, d'ailleurs, encore dans sa chambre ses classeurs rangés dans un coin.

THE BACKSTAGE.
PSEUDO/PRENOM n-dia, aurore.
AGE huhu
COMMENTAIRE ( oui, je parle en smiley )

▶ ▶ ▶ THE STORYLINE.

La voix de Jason n’était plus qu’un affreux air de musique qui lui restait à la tête. Alors que les deux garçons de la famille déambulaient dans les allées du petit square de la ville, elle était apparue dans son champ de vision. Telle une apparition divine, elle s’approchait vers lui. Lui, Clay (pas Jason). Un léger sourire se dessina alors timidement sur ses lèvres, il la contempla longuement du regard, la détailla et tenta de se mémoriser une nouvelle fois chacun des traits qui dessinaient cette silhouette si gracieuse, si belle, si envoutante. Jason pouvait bien lui parler de ce qu’il voulait. A cet instant précis, il n’y avait plus qu’elle à ses yeux. Elle, juste elle, et les autres… il s’en foutait. Il la regardait s’approcher un peu plus chaque seconde de lui, il ne la quitta pas du regard. Elle était là. Là, tout près de lui. Son cœur semblait s’emballer un peu plus – comme son esprit, d’ailleurs. Tout se chamboulait dans sa tête, sans son esprit et dans son cœur. Il crut que son palpitant venait de rater un battement. Il tourna légèrement la tête lorsqu’elle passa à côté de lui, à quelques décimètres de lui, quelques centimètres de lui. Il pouvait de là sentir son parfum trouver refuge au creux de ses narines. Elle était bien réelle, bel et bien vivante. Il entrouvrit la bouche, tentant alors de prononcer quelque-chose. Un mot – ou deux – certainement, mais aucun son ne put sortir de sa bouche à cet instant. Trop émerveillé ou intimidé par la jeune femme en question. Elle était belle. Elle était si belle. Tellement belle qu’elle avait su trouver une place dans son esprit affaibli par ce sentiment inexpliqué, ce sentiment nouveau. Il agita doucement la tête lorsqu’un coup de coude vint lui remettre les idées en place. « Hé, tu m’écoutes quand je te parle ? ». La voix de Jason s’élevait à présent. Un semblant de soupir s’échapper furtivement de la bouche de Clay. Son regard ne quitta pas un instant cette dernière scène qui s’offrait à lui, cette dernière apparition de cette nymphe éphémère. Il aurait eu voulu l’aborder, s’il en avait eu le courage et si Jason ne serait pas intervenu. Alors que cette fille continuait son chemin sans se soucier de ce monde avoisinant, Clay tenta de reporter son attention sur son demi-frère. Jason. « Euh… » souffla-t-il, alors qu’il lança un dernier coup d’œil en sa direction. « Tu la connais ? » demanda-t-il en retour. « Ouais, on est à l’école ensemble ! » rétorqua-t-il sans même réfléchir une seconde à ce qu’il venait de répondre. Un air perplexe venait alors de se peindre sur le visage de son aîné. Il pouvait alors percevoir un léger froncement des sourcils, suivit d’un léger sourcil qui allait s’arquer au moment où il prendrait la parole. « Tu ne vas plus à l’école, Clay… ». Ne plus aller à l’école ? Ah… oui, c’est vrai. Le jeune garçon baissa alors la tête, se craquant légèrement la nuque. « On était à l’école ensemble. » se corrigea-t-il, tenta de reprendre un peu de contenance. Il n’avait jamais été à l’école avec elle. Clairement non. Il ne savait d’ailleurs rien d’elle. Comment s’appelait-elle ? Où vivait-elle ? Avait-elle des frères ou des sœurs ? Avait-elle le cœur comblé ou peiné ? Avait-elle quelqu’un dans sa vie ? A qui pensait-elle à l’instant où il venait de la croiser ? Tant de questions auxquelles il serait incapable d’y répondre. Elle était un point d’interrogation dans sa vie. Mais le plus beau des points d’interrogations. Celui écrit au feutre rouge – ou rose, même si cette couleur est un peu trop féminine à son goût. Il n’avait pas envie d’avouer à Jason qu’il ne la connaissait pas et qu’elle était juste une fille qui… il ne saurait même pas mettre de mot à l’effet qu’elle lui produisait.
Elle était là. C’était tout ce qui l’importait, comme à chaque que son chemin avait le beau malheur de croiser le sien. A chaque fois, c’était… la même chose. Les mêmes sensations, les mêmes effets, les mêmes ressentis, la même emprise qu’elle avait sur lui. Elle était belle cette fille. Elle était belle son inconnue. Un jour, il lui parlerait. Il se l’était promis. Oui, un jour, il lui parlera et il la fera sienne. Peut-être pas, à vrai dire. Peut-être était-il trop idéaliste, trop utopiste, de croire qu’une fille comme elle pourrait s’intéresser à lui – si ce n’est un minimum. Les filles comme elle ne devaient pas s’intéresser aux garçons comme lui, comme Clay. Non.

Clay tentait de se fondre dans la masse mouvante. La lumière des spotlights l’aveuglait, la musique l’assourdissait et l’odeur de ce melting-pot de parfums enivrants lui donnait la nausée. Il donnait des coudes afin de se frayer un passage et de rejoindre son demi-frère, installé au bar, en compagnie d’une conquête éphémère certainement. Il n’avait, d’ailleurs, toujours pas compris pourquoi. Pourquoi son ami l’avait encouragé à venir ici. Ici, à cette soirée, suintant la débauche des âmes en mal d’amour et mal être. Toutes ces âmes en mal d’amour s’étaient retrouvées, le temps d’une soirée, afin de se faire plaisir, afin de s’offrir une échappatoire dans cette foutue vie bien trop fade à leurs yeux. Il n’était pas à ça lui. Lui, Clay. Il le savait. Il le sentait. Il ne se sentait pas en communion ni avec cette fille qui venait de lui mettre la main… sur le postérieur – cette pratique se faisait-elle toujours ? – ni cette autre fille au regard bien trop insistant. Il rêvait d’une tout autre échappatoire. D’un endroit bercé par une musique. Par une belle musique. Pas par ses booms-booms incessants qui tentent vainement de reproduire le battement d’un cœur. Musique électronique, comme ils appellent ça ici. Ici, dans ce bas monde. Le regard azuré de Clay se perdit un instant, se posant sur… elle. Il agita doucement la tête, tentant alors de garder le contrôle sur son palpitant. Il tira la manche du tee-shirt de Danny. «Elle est là… » souffla-t-il alors en même temps. Elle est là. Elle était là. Là, à cet instant, sous ses yeux. Il tenta alors de pointer du menton la direction où il l’avait aperçu. Où il avait aperçu cette fille. Sa lubie. Sa petite fantaisie. Son obsession. « Clay, tu fais chier ! » grommela le jeune homme qui était en compagnie d’une demoiselle. Malgré le dérangement, il regarda alors la direction indiquée. Un rire vint se frayer un chemin entre les lèvres du garçon. Le jeune O’Hara arqua un sourcil, ne comprenant pas pourquoi cette situation semblait l’amuser autant que ça. Il n’y avait rien de drôle. « Ruth Wesson ? Cette fausse blonde à la dentition de cheval, c’est elle ta « fameuse » fille ? T’es sérieux là, Clay ? ». Il ne comprenait pas pourquoi il lui parlait de cette fille, de cette dénommée Ruth. Pourquoi parlait-il d’elle ? Ce n’était pas elle qu’il lui avait montré, mais ELLE. Clay tourna alors son attention vers l’endroit où il l’avait aperçu… et… elle n’était plus là. Comme envolée. Disparue. «Mais non… non… Je te jure, elle était là, à l’instant ! Un verre à la main, à attendre… attendre je-ne-sais-pas-trop-quoi… » lança-t-il, un brin affolé. « Je te jure, elle était là ! » reprit-il donnant un petit ton sec à sa voix. Oui, elle était là. Il n’avait pas eu d’hallucination, il l’avait bel et bien vu. Il en était persuadé. Il en était certain. Il en était sûr de lui. Elle était là. Là, à cette soirée. Dans le même endroit que lui. « Ça va, je te crois ! Bon, elle ressemble à quoi cette fille ? ». A quoi ressemblait-elle ? Clay prit quelques instants la peine de réfléchir. Cette fille, «elle est… belle, très belle. Elle est brune, et belle… très belle… mais je crois que je me répète… » articula-t-il en grimaçant légèrement. Il observait alors le visage de son ami, qui à l’écoute de la description de cette inconnue, ne semblait peu convaincu par celle-ci. Par le portrait de formulé par Clay. Il est certain qu’il aurait pu y mettre… un peu plus du sien dans cette description. Il y avait pourtant mis tout son cœur. Il ne pouvait pas nier la beauté de cette inconnue. Elle était belle, très belle. Et il avait ajouté qu’elle était brune. Une détail qui semble-t-il avait tout de même une importance. Elle n’était pas blonde (ni fausse blonde), ou rousse, mais brune. Une très belle jeune fille brune, voilà donc à quoi ressemblait la jeune femme qui semblait avoir une certaine emprise sur le jeune homme. « Et tu comptes faire quoi maintenant ? La retrouver ? Parce que des bonnasses brunes, j’en connais un paquet. ». Un petit ricanement vint ponctuer la fin de son énoncé. Il était évidemment que Danny s’amusait de la situation. Il devait être habitué des railleries de son ami. Ami. Il ne savait pas vraiment si un « ami » se comportait vraiment comme ça dans une situation pareille ou non. Ami. C’était bien souvent cette étiquette que l’on attribuait à une personne que l’on semblait apprécier. Apprécier beaucoup. Clay l’appréciait beaucoup, il est vrai. Il faut dire qu’il n’avait pas beaucoup d’amis, il devait les compter sur les phalanges d’un doigt. Clay se pinça les lèvres, restant un bref instant silencieux. Il regarda autour de lui, une nouvelle fois, dans l’espoir de la revoir. De revoir sa belle. De la revoir vainement. « Je… je… je ne sais pas ce que je vais faire… Je… Ca ne servirait à rien que je la retrouve de toute façon. ». Elle ne s’intéressait pas à lui. Elle devait ignorait son existence alors à quoi bon ? Un brin perdu dans ses paroles, un verre atterrit subitement entre ses mains. Il baissa du regard, inspectant le contenu. C’était Danny qui venait de lui donner – ou offrir. Il inspecta de plus près le contenu de ce verre, pouvant constater que c’était de l’alcool. A l’évocation de cette boisson, il grimaça légèrement. Lui, il ne buvait pas. Il n’avait jamais bu. Sûrement parce qu’on lui avait toujours interdit de boire (de l’alcool, hein). « Tu ne vas quand même pas me refuser ça ! Ce n’est qu’un verre, puis… tu vas bien profiter de cette soirée, non ? ». Clay sourcilla légèrement, avant que son ami l’encourage à boire. Il le voyait bien à son regard. Ce regard qui lui disait : « allez bois, bois ! Fais ta lopette, vieux ! ». Je ne suis pas une lopette !. Profiter de sa soirée, donc ? Profiter ? Comment profitait-on de sa soirée ? Comme un garçon comme lui, un garçon de son âge, profitait de sa soirée ? Comment ? Lui, il ne savait pas vraiment. Alors peut-être que vous, vous savez. Il fut presque résigné à boire une gorgée du liquide alcoolisé qui venait lui piquer douloureusement le fond de sa gorge. Il grimaça légèrement lorsqu’il avala cette gorgée. Danny vint lui donner une tape amicale sur l’épaule. « Tu vas l’oublier cette nana, je vais t’en trouver une belle brune… » souffla-t-il alors au creux de l’oreille du jeune garçon. Oublier cette nana. Comment voulait-il qu’il oublie « cette nana », comme il disait. Comment ? On ne pouvait pas oublier une pensée, un esprit qui vous frappe. On ne pouvait pas les rayer de notre mémoire. Non. Clay, il n’en avait pas la force, lui. Il était ce garçon dont l’image de cette fille s’était à tout jamais greffé dans son faible esprit. Il pensera à elle tout le temps…

Je ne connais pas ton avatar, shame on me

mais

bref, bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche young volcanoes 328540214

Invité

il est seksy ton avatar bienvenue ici

J'AI LE DROIT DE MOURIR? young volcanoes 2732049330

Seigneur Jésus ton choix est carrément parfait. young volcanoes 2732049330

Bienvenue. young volcanoes 351904200

GEORGE GEORGE GEORGE young volcanoes 3622676094

ça y est, j'ai Red & Black dans la tête young volcanoes 3140446873

excellent choix d'avatar, Georgie est tout simplement parfait young volcanoes 3622676094

Invité

Il est pas mal cet homme young volcanoes 3622676094

Bienvenuuue young volcanoes 328540214

Je ne le connaissais pas, mais il a une bonne bouille. young volcanoes 3816061830

Bienvenue

comme mes vdds, je ne le connaissais pas mais c'est vrai qu'il a plutôt l'air pas mal. young volcanoes 160516361

bienvenue. I love you

Bienvenue beau mâle que je ne connais pas du tout young volcanoes 3622676094

J'exige un lien ! young volcanoes 3737334439

Invité

Hola, Bienvenue <3

Bienvenue parmi nous young volcanoes 3622676094

Super choix I love you

Bienvenue

CE CHOIX

J'exige un lien !! young volcanoes 3140446873

Bienvenue

FOB powa.

Rien que pour ça je t'aime déjà. young volcanoes 3805177430

Ton choix d'avatar est mortel également !
Bienvenue. I love you

Bienvenue ici. young volcanoes 3335212792

Cet homme a une bouille juste adorable :brille:et puis ton titre quoi
Bienvenue

GEORRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRGE
"I AM AGOG I AM AGHAST DID MARIUS FOUND LOVE AT LAAAAAAAAST"

ok je me calme :dead:
George jolem tellement e/R for the win ! Bienvenido ! :D

pfiou, quel accueil! vous êtes adorables, merci à tous et à toutes. young volcanoes 759063105

je suis contente que george plaise à un grand nombre. young volcanoes 954588702

aurore - (un personnage qui porte le même prénom que moi young volcanoes 351904200

)si tu meurs, je vais être obligé de te faire du bouche à bouche... c'est à toi de voir. young volcanoes 3805177430

samuel - willou. young volcanoes 2883109814

avec plaisir pour le lien, si tu as déjà une idée ou si tu es à la recherche d'un "truc", n'hésite pas à m'en faire part. young volcanoes 3844635671

ça m'aidera peut-être à décanter un peu plus ma fiche comme ça. young volcanoes 954588702

mia - et que dire du tien, kaya. young volcanoes 328540214

et avec graa(...)and plaisir pour le lien. young volcanoes 2883109814

je ne vais pas répéter ce que j'ai dit à samuel, juste au-dessus, mais si tu cherches un lien précis et que tu as un besoin d'un chevalier servant pour le rôle : clay is here. young volcanoes 1404409019

stanley - maw young volcanoes 759063105

oh oui, aime-moi young volcanoes 2883109814

et puis dylan. young volcanoes 351904200

Invité

bienvenue ! I love you

Bienvenue par ici! young volcanoes 3237725818

le titre
bienvenue

Bienvenue

merci beaucoup young volcanoes 328540214

Ton personnage est adorable J'ai hâte de le voir à l'action
Bienvenue

» ❈ too young, too dumb to realize
» ≈ live fast, die young, bad girls do it well.