WOMANIZER. (flynn)

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children of the bad revolution.
◯ Flynn Adamson ◯
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blendedinhprp/tumblr.

PRENOM(S) NOM : Flynn Adamson. AGE : vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 29 mai 1989, à Philadelphie, en Pennsylvanie. NATIONALITE : américaine. STATUT CIVIL : célibataire, pas assez mature sans doute pour tenir les premiers mois amoureux de la relation. Cela dit, les conquêtes ne sont pas ce qu'il manque. ETUDES/METIER(s) : étudiant en médecine, stagiaire à l'hôpital. TRAITS DE CARACTERE : impulsif, fêtard, irresponsable, susceptible, séducteur, volage, passionné, drôle, sociable, joueur. AVATAR : max irons. GROUPE : family matters, parce que malgré toutes ses conneries, la famille passera toujours en premier.

ES-TU PROCHE AVEC TES VOISINS?
Plus ou moins, disons que Flynn entretient des relations cordiales avec le voisinage, sans pour autant les inviter à ses soirées. Il lance un geste de la main dans un léger sourire quand il les croise dans la rue, mais il ne commencera pas pour autant une conversation et ce, même si c'est la jolie fille d'en face. Non, parce qu'il sait, Flynn, que si quelque chose se passe mal avec ses voisins, tout le quartier le saura et toute sa réputation de bon gendre en prendra définitivement un gros coup.

▷ TU AS CINQ MINUTES POUR CRACHER SUR LA PERSONNE QUE TU DÉTESTES LE PLUS, GO.
En général, c'est sur Flynn qu'on crache parce que derrière ses sourires, soyons honnête, c'est un salaud, mais un salaud qui se respecte. Lui, franchement, il s'en fout des autres. Il ne déteste pas forcément quelqu'un, il se sent totalement hors de tout ce système, il vit juste sa vie et si on ne l'aime pas et qu'on lui fout des bâtons dans les roues, bah il se vengera un bon coup et il continuera son chemin.

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?
C'est sympathique, mais sans plus. Le seul bémol à tout ça, c'est que tout le monde semble se connaitre par cœur. Tout le monde sait que machin a couché avec truc et qu'il l'a trompé avec sa sœur, parce que c'est une petite ville, et que forcément, les choses se savent vite. Et pour Flynn, qui est un gamin complètement hors de contrôle et qui ne cherche qu'à s'amuser en saccageant tout sur son passage, c'est un point très négatif. Les gens savent qu'il a beau montrer qu'il est serviable, souriant et généreux, il reste un sale gosse. Pourtant, il ne changerait cette ville pour rien au monde, parce qu'après tout, c'est chez lui.

THE CURRICULUM VITAE.
Flynn est un éternel indécis. Il aime les femmes, ça c'est certain. Il les aime et les respecte. Avec elles, il se comporte comme le parfait gendre que toute famille rêverait d'avoir, lance des sourires et des regards complices, offre des fleurs tous les mois, paye tous les restaurants du monde, l'emmène dans les endroits les plus romantiques possibles... mais Flynn se lasse vite. Et quand Flynn se lasse, même la fille la plus belle du monde ne le fera jamais revenir. Alors, les rendez-vous s'espacent, les discussions ne mènent plus à rien et sa désinvolture légendaire les mène à leur perte. + Il n'a jamais dépassé le cap des trois mois. + Flynn ne croit d'ailleurs pas en l'amour. Le vrai, avec un grand A, qui donne des papillons dans le ventre, qui te fait rire et pleurer en même temps... tout ça, pour lui, c'est des conneries. + Rebelle de la société, Flynn a passé son adolescence à braver tous les dangers, rien que pour ressentir cette adrénaline traverser son corps. Voler des voitures, jeter des cailloux sur les pare-brises et mener la vie dure aux professeurs, comme aux plus jeunes, tout ça, c'est fait. + Il continue d'ailleurs à s'amuser à arnaquer certaines personnes quand il estime qu'elles en ont besoin pour redescendre un peu sur Terre. Il ne le fait pas pour l'argent, mais seulement par amusement. Et ce n'est sans doute pas sa famille hippie qui lui interdira de le faire. + Il fume, régulièrement, peut-être même un peu. Ça a commencé par une cigarette dans une soirée, pour faire comme les autres, et puis ça s'est enchainé, quand il était stressé, pour ensuite, ne plus s'arrêter. + Il ne tient pas l'alcool, c'est sans doute pour ça que tout le monde adore boire avec lui. Il finit toujours par terre le premier. + Il ne sait pas cuisiner et serait capable de faire exploser sa cuisine en faisant des pâtes. + Il chante comme une casserole, mais il est doué sur un piano, ou avec une guitare. + En bon cinéphile, il apprécie autant les films classiques que les blockbusters et passerait sa vie au cinéma s'il le pouvait.

THE BACKSTAGE.
PSEUDO/PRENOM .
AGE majeuuure, pffou.
COMMENTAIRE qu'il est beau ce forum, tout en simplicité.

Invité

▶ ▶ ▶ THE STORYLINE.
« A tout à l'heure. » Qu'il lui susurre tendrement, lui laissant un chaste baiser sur les lèvres en seul souvenir avant de quitter la voiture pour se diriger dans cette maison inconnue. C'est tellement facile avec elle, il lui suffit d'un sourire pour qu'elle en soit toute retournée. Naïve petite fille qui ne voit que ce qu'elle souhaite voir. Si elle savait que le prince qu'elle côtoie tous les jours n'a rien de charmant, si ce n'est de son physique légèrement avantageux. Flynn n'est pas ce garçon qu'elle aime tant, et ne l'a jamais été. Elle n'avait été qu'une fille de plus sur son tableau de chasse, tellement facile à berner, plus difficile à abandonner. Ça, c'était au début. Elle était arrivée, avec sa longue chevelure brune qui tombait en cascade et qui virevoltait au rythme de ses pas. C'était beau à voir, c'était tellement beau qu'il avait tout mis en œuvre pour qu'à la seconde même où il ouvre la bouche, elle l'adore. Cela avait été un jeu d'enfant, elle avait souri à sa première remarque, mais n'en avait pas pour autant oublié l'objectif premier, l'aider dans ses cours de biologie. Il l'avait observé tout le long de l'heure, elle était tellement concentrée dans ses exercices, et ressemblait à cette petite fille que les hommes comme lui aiment tant se jouer que la tentation avait été impossible à résister. Alors, après deux, trois, quatre, cinq cours, il s'était jeté à l'eau et l'avait invité, en toute amitié, évidemment. Elle avait hésité, il lui avait lancé ce sourire craquant du garçon légèrement embarrassé mais néanmoins excité à l'idée de la revoir, et finalement, elle était tombée dans le panneau. Encore une. Pas étonnant, elle avait tout de la petite rose qui venait d'éclore et qui ne connaissait rien à la vie. Ils avaient vécu le rendez-vous parfait, petit sourire et geste timide, tout avait été absolument parfait. Et il était passé devant cet auto, avait remarqué cette belle montre, perdu entre deux sièges, illuminée par les étoiles de la soirée. Il avait attrapé la demoiselle par la taille, lui avait proposé un jeu, qu'elle avait accepté évidemment, et ils avaient tout volé. En un seul instant. Petit coup à droite, petit coup à gauche, portière qui s'ouvre et objets qui s'envolent sous les bras de deux jeunes adolescents fougueux. Premier test réussi, elle l'avait suivi dans ce stupide jeu qui les mettait en danger, et qui pourtant, était définitivement le truc le plus cool que Posie n'avait jamais fait de sa vie. En entrant un peu plus dans son univers malsain, elle avait réussi à marquer des points. Il ne l'avait plus vu comme une seule fille facile. Il avait vu en elle du potentiel. Un potentiel tellement grand qu'il avait multiplié les nouveaux rendez-vous, avec toujours pour même objectif de prendre ce qui ne leur avaient jamais appartenu. C'était simple, facile, rapide. Elle le suivait n'importe où, acquiesçait à la moindre remarque, riait à la moindre plaisanterie (même pourrie). Le temps passe, elle tombe amoureuse, il l'embrasse, ils sortent ensemble. Et les voilà, dans ce même stupide jeu, en cette belle soirée, elle au volant d'une voiture volée, lui, sac à dos à la main, entrant dans cette grande maison vide. Il sait qu'elle l'écoutera, alors il a confiance. Il a confiance en elle, parce qu'après tout, c'est sa copine, qu'elle l'aime et serait prête à décrocher la Lune pour lui. Il a confiance, parce qu'au fond, il l'apprécie beaucoup et lui, n'apprécie pas n'importe qui. Alors, quand il commence à traverser les couloirs en faisant attention aux objets qu'il touche, il ne se doute pas un seul instant qu'elle ne sera pas assez rapide pour esquiver la police. Et pourtant, les néons éclairent déjà la rue, tandis qu'il voit par la fenêtre les agents qui menottent sa petite-amie. Son cœur s'emballe, l'adrénaline monte d'un cran et sa respiration se fait plus saccadée. Bordel, quelle idiote celle-là ! Elle aurait dû partir, elle aurait quitter les lieux ! Aussitôt, il ferme son sac à dos, s'enfonce dans la maison à la recherche d'une idée et quitte la demeure par la fenêtre de l'arrière en tentant d'étouffer ses bruits de pas. Après un dernier regard vers celle qui semble tout aussi abasourdie par lui par la situation, il disparait dans la nuit. C'était elle ou lui.

(...)

« T'es belle, quand tu souris. » Qu'il minaude à sa conquête de la soirée dans un sourire tendre. Elle ne peut s'empêcher de glousser face à un tel compliment, tellement cliché, mais tellement attendrissant quand on l'entend pour de vrai, et s'approche pour l'embrasser sur les lèvres. C'est tout bête, une phrase et c'est dans la poche, comme à chaque fois. Attendrie par ce soudain romantisme, elle n'a même pas remarqué les doigts de Flynn fouiller doucement les poches de sa veste, pour dérober son portable et ses clés, qu'il glisse dans sa manche, ni vu, ni connu. Encore une qui va passer la soirée dehors. Elle tourne légèrement la tête vers la droite et le jeune homme attaque à nouveau, pour enlever tout soupçon de sa part. On ne sait jamais, sa main est encore si proche de sa poche. « Attends, bouge pas. » Dit-il en caressant la commissure de ses lèvres avec sa main libre, nettoyant une tâche invisible. Elle ferme les yeux, sourit et se laisse faire. Satisfait, il prend une nouvelle gorgée de sa boisson chaude et l'observe se lever pour « se refaire une beauté. » C'est ça, va donc faire ça, qu'il pense. Dommage qu'elle emmène son sac à main avec elle. Peut-être qu'inconsciemment, elle ne lui fait pas encore assez confiance. Elle a bien raison. Cinq ans ont passé depuis l'arrestation de son ancienne petite-amie. Il a suivi la procédure de loin, sait qu'elle s'est fait arrêté, qu'elle a fait des travaux d'intérêt général, et qu'elle ne l'a jamais dénoncé, en bonne coéquipière qu'elle est. Il ne saurait pour quelle raison elle a gardé sa langue. Lui, aurait sans doute craché le morceau, histoire de ne pas être le seul à écoper de la peine. Mais elle, a tout gardé. Elle n'a absolument rien dit, même alors qu'il a disparu et qu'elle doit très certainement lui en vouloir. Et rien pour que cette raison, elle restera toujours importante et grande à ses yeux. Petite chenille devenue un véritable papillon. Naïve petite fille qui est devenue une femme à ses yeux. Il l'a croisé, il y a quelques jours, alors qu'il rendait visite à son grand-père. Il l'a croisé, belle comme dans son souvenir. Elle était aussi abasourdie que lui. C'était plutôt drôle à voir. Cinq ans ont passé... mais rien n'a véritablement changé. Il se doute bien qu'elle a dû reprendre le droit chemin, sans lui. Quelle racaille qu'il est, parfois. Flynn, lui, n'a pas changé d'un seul poil. Evidemment qu'il a été touché par cette histoire. Evidemment qu'il en a souffert, qu'il a hésité à aller lui rendre visite, à aller se dénoncer, mais il n'a jamais pu s'y résoudre. Après tout, si elle ne l'a pas dénoncé, c'est bien pour une raison. Alors, il a attendu, et a tenté de se remettre dans la bonne voie. En son souvenir, il a travaillé sa biologie, sa chimie, est entré en médecine, prévoit déjà de devenir grand chirurgien de renom. Mais la tentation et la routine devenant insupportable, il a repris quelques activités, juste pour rire, pour passer le temps. Rien de sérieux, rien de grave. Pas de quoi fouetter un chat. Il a arrêté les braquages, parce que selon lui, cela ne se faisait pas pour Posie. Non, maintenant, son truc, c'est d'arnaquer les femmes qui se croient tout permis. De les voler. Comme cette femme, qui pense pouvoir acheter son amour en lui offrant une montre à deux sous. Une cougar qui n'a définitivement aucun talent pour l'amour. Alors, ses clés, elle pourra bien aller se faire voir. Lorsqu'elle revient des toilettes, il prétexte une urgence avec sa petite sœur, la pauvre Leigh, qui a besoin de lui. Il invente une histoire triste à souhait et après un dernier baiser passionné, l'abandonne dans ce café, qu'il n'a même pas payé.